Obligation à coupon zéro
Une obligation dite à coupon zéro est une obligation dont les intérêts sont versés en totalité à l'échéance de l'emprunt après avoir été capitalisés sur toute la période.
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L'actif circulant est composé des stocks, des créances clients et autres, des placements financiers court terme et du disponible de l'entreprise. Ce terme traduit le fait que ces actifs ont vocation à tourner au cours du cycle d'exploitation, par opposition à l'actif immobilisé que le cycle d'exploitation ne détruit pas.
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Une obligation dite à coupon zéro est une obligation dont les intérêts sont versés en totalité à l'échéance de l'emprunt après avoir été capitalisés sur toute la période.
Une obligation à haut rendement (high yield) présente l'avantage de n'être remboursable qu'in fine après une durée de 8 à 10 ans. Le remboursement n'est en outre assuré que si la dette senior a été elle-même remboursée, c'est la notion de subordination. L'émission de ce type de dette est effectuée pour financer les LBO les plus importants ou des entreprises présentant une solvabilité faible ou douteuse. En effet, pour offrir une liquidité suffisante aux investisseurs, la taille de ces émissions est rarement inférieure à 100 M
Les ORANE, obligations à option de remboursement en actions ou numéraire, sont des obligations à courte échéance qui peuvent dans un cas être remboursées par remises d'actions nouvelles et dans d'autres cas par remboursement en cash. Elles ont été utilisées la première fois en France par Lafarge dans son offre publique d'achat (OPA) sur Blue Circle et il était prévu que si l'OPA réussissait les ORANE seraient remboursées en actions Lafarge et que si cette OPA ratait, elles seraient alors remboursées en cash, Lafarge n'ayant pas besoin des liquidités qu'il avait recueillies via l'émission d'ORANE pour financer son OPA si celle-ci échouait. Produit proche de l'ORA, l'Obligation remboursable en action ou en numéraire est en réalité une augmentation de capital conditionnelle au succès d'une offre (les augmentations de capital ne pouvant être juridiquement conditionnelles en France).
Aussi appelée ORNAE. Forme d'obligations convertibles qui n'entraîne pas l'émission d'actions nouvelles puisque si le détenteur demande le remboursement en titres à l'échéance de l'ORNAE, l'émetteur peut à son gré lui remettre soit de ses actions existantes qu'il auto-détient, soit des liquidités pour la contre-valeur des actions qui ne sont pas remises. Comme pour une obligation convertible classique, l'investisseur peut aussi demander que l'ORNAE lui soit remboursée en liquidités si la valeur de l'action n'a pas dépassé le prix de remboursement de l'ORNAE. Le fait qu'il n'y ait pas avec ce produit d'émission d'actions nouvelles ne veut pas dire qu'il n'y a pas dilution puisque si l'émetteur remet à l'échéance des actions auto-détenues au porteur des ORNAE, le nombre des actions en circulation va augmenter du nombre de ces actions remises puisqu'elles ne viendront plus en déduction du total, n'étant plus comme auparavant déduites car auto-détenues. N'entraînant pas l'émission d'actions nouvelles, les ORNAE relèvent d'une décision d'AGO et non d'AGE, ce qui donne de la souplesse aux émetteurs. En France, SEB est le premier émetteur à avoir recours aux ORNAE (en 2016).
Une obligation à taux fixe est un titre de dette dont l'échéancier de flux est parfaitement connu à l'émission car le taux du coupon a été fixé à ce moment-là et ne changera pas au cours du temps.
Une obligation à taux variable est un titre de dette dont l'échéancier de flux n'est pas parfaitement connu à l'émission. Le coupon d'une obligation à taux variable n'est pas fixe, mais indexé sur un taux observable (généralement un taux court terme, l'Euribor 6 mois par exemple). A chaque échéance du coupon, la valeur de celui-ci sera calculée en fonction de ce taux de marché. Ceci permet d'annuler le risque de taux car l'émetteur de ce titre est sûr qu'à tout instant, il est endetté au taux du marché, ni plus, ni moins.