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L'actif circulant est composé des stocks, des créances clients et autres, des placements financiers court terme et du disponible de l'entreprise. Ce terme traduit le fait que ces actifs ont vocation à tourner au cours du cycle d'exploitation, par opposition à l'actif immobilisé que le cycle d'exploitation ne détruit pas.
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Popularisée au milieu des années 1990, l'Economic Value Added (R) (création de valeur intrinsèque) est un critère opérationnel de mesure de la création de valeur. Elle se calcule en multipliant le montant de l'actif économique par la différence entre rentabilité économique après impôt et coût moyen pondéré du capital. L'EVA (R) constitue un outil de gestion financière décentralisé car elle permet à tous les niveaux de l'entreprise de mesurer la performance d'une unité en lui appliquant un taux de rentabilité exigé individuel.
Dans une économie d'endettement, le marché financier est peu développé, dès lors une faible part des besoins des entreprises est financée par émission de titres financiers. Une économie d'endettement est une économie dans laquelle prédomine le financement par crédit bancaire. Les entreprises sont donc fortement endettées auprès des banques qui se refinancent auprès de la Banque centrale.
Lorsqu'il existe un impôt sur les sociétés et qu'une entreprise utilise l'endettement de façon permanente, elle bénéficie d'une économie d'impôt qui doit être intégrée à la valeur de son actif économique. La valeur de l'actif économique de l'entreprise endettée est égale à la valeur de l'actif économique de l'entreprise non endettée plus la valeur actuelle de l'économie d'impôt liée à l'endettement : c'est le fondement de la méthode APV.
Avec la quasi-disparition de l'inflation depuis la fin des années 1980, on assiste à la réapparition des capitaux propres comme source de financement de base : il ne peut pas y avoir d'économie de marché sans économie de capitaux propres. En conséquence, dans une économie de marché, l'analyse financière met l'accent sur l'évaluation des titres et des sociétés qui les émettent. Plus généralement, l'analyse stratégique qui cherche à comprendre comment une entreprise peut être rentable par rapport à son coût du capital, dépasse donc la seule analyse financière traditionnelle.
Dans une économie de marchés financiers, l'essentiel des besoins de financement est couvert par l'émission par les entreprises de titres financiers (actions, obligations, billets de trésorerie, ...) souscrits par les investisseurs. Une économie de marchés financiers est caractérisée par l'appel direct à l'épargne. À l'inverse, une part très importante des placements des agents excédentaires se fait directement sur les marchés financiers par souscriptions ou achats d'actions, d'obligations, de billets de trésorerie, de certificats de dépôts, d'actions de sociétés d'investissement à capital variable (SICAV), de parts de fonds commun de placement (FCP). L'intermédiation cède le pas à l'intermédiaire, les établissements financiers faisant évoluer leur rôle vers le placement des titres émis par les entreprises auprès des investisseurs.